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Surrénales cortisol et ostéopathie / JOURNIAT Brigitte

Public ISBD Titre : Surrénales cortisol et ostéopathie Type de document : texte imprimé Auteurs : JOURNIAT Brigitte, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : d'endomorphines cérébrales. La boucle était bouclée. c'étaient des dosages courants  bien que nécessitant des prises de sang  et ma soif d'objectiver le subjectif du mieux des patients allait pouvoir être soulagé. Le premier but de ce travail est de montrer que: 1- nous pouvons -ou non- intervenir sur l'axe A.H.S. 2- nous le faisons -ou pas- tous les jours. Le deuxième but est apparu en cours de recherches: la littérature ostéopathique ne mentionne que très peu les glandes surrénales et les moyens d'action sur elles: elles se trouvent si profondément enfouies dans l'abdomen  et si petites que les techniques suggérées sont plus d'ordre réflexe  ou sympathique ou para  par activation ou inhibition au niveau de la colonne vertébrale  ce qui ne concernerait alors logiquement  comme nous le verrons plus loin  que les médullo surrénales. Nous avons donc  dans l'étude qui suit  privilégié  sur l'axe A.H.S. -hypothalamus  hypophyse  corticosurrénales- les recherches concernant les corticosurrénales. Son anatomie  son environnement  constituent un lourd chapitre  motivé justement par le fait qu'il fallait trouver un moyen de l'atteindre. Dans la physiologie  on aura écarté les médulo-surrénales  puisque indépendantes du système hormonal. Nous avons écarté l'aldostérone  puisque sa régulation dépend de facteurs plus spécifiques que le contrôle hypophysaire  comme la kaliémie  la volémie et le système angiotensinerénine. Enfin  nous avons écarté les hormones sexocorticoides  car elles interviennent finalement peu sur la régulation de l'axe A.H.S.  se manifestant surtout dans certaines tumeurs surrénaliennes. Le chapitre physiologie  est doc essentiellement consacré à l'étude du cortisol. En conclusion  nous espérons apporter un nouvel éclairage sur sur cette glande sormme toute vitale  puisque nous ne pouvons vivre sans elle. Résumé : Tout a commencé il y a trois ans, par un après-midi d'avril particulièrement difficile -comme nous en connaissons tous parfois- se résumant à six patients présentant tous des sciatalgies. [...]Quand je fis entrer le 4ème patient dans mon cabinet, le 5ème et le 6ème attendaient déjà, et une pression épouvantable commença à monter chez le thérapeute que je représentais. Epuisée par les trois premiers et pas de temps pour faire une pause, ni même cette fois de me demander "ce que j'avais fait ". Je décidai de commencer par le CV4 pour les trois derniers. Ils s'endormirent tous rapidement (on les entendit ronfler de la cuisine) , ne se réveillant qu'aux moments douloureux de pyramidaux et de psoas, mais se rendormirent ensuite comme de grands bébés. [...]Le principe d'un dosage hormonal avant et après un traitement ostéopathique persistait. Une nouvelle série le circonstances de traitement sur des sujets épuisés, tressés, déprimés, ayant eu des tests sanguins de cortisol, ou ayant été traité en corticothérapie, certains vivement améliorés par le traitement ostéopathique, d'autres sans résultat, me poussèrent à m'orienter vers le cortisol et l 'ACTH. D'autant qu'il semblait, d'après de récents articles, que la sécrétion d'ACTH reflétait bien le taux de sécrétion Surrénales cortisol et ostéopathie [texte imprimé] / JOURNIAT Brigitte, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : d'endomorphines cérébrales. La boucle était bouclée. c'étaient des dosages courants  bien que nécessitant des prises de sang  et ma soif d'objectiver le subjectif du mieux des patients allait pouvoir être soulagé. Le premier but de ce travail est de montrer que: 1- nous pouvons -ou non- intervenir sur l'axe A.H.S. 2- nous le faisons -ou pas- tous les jours. Le deuxième but est apparu en cours de recherches: la littérature ostéopathique ne mentionne que très peu les glandes surrénales et les moyens d'action sur elles: elles se trouvent si profondément enfouies dans l'abdomen  et si petites que les techniques suggérées sont plus d'ordre réflexe  ou sympathique ou para  par activation ou inhibition au niveau de la colonne vertébrale  ce qui ne concernerait alors logiquement  comme nous le verrons plus loin  que les médullo surrénales. Nous avons donc  dans l'étude qui suit  privilégié  sur l'axe A.H.S. -hypothalamus  hypophyse  corticosurrénales- les recherches concernant les corticosurrénales. Son anatomie  son environnement  constituent un lourd chapitre  motivé justement par le fait qu'il fallait trouver un moyen de l'atteindre. Dans la physiologie  on aura écarté les médulo-surrénales  puisque indépendantes du système hormonal. Nous avons écarté l'aldostérone  puisque sa régulation dépend de facteurs plus spécifiques que le contrôle hypophysaire  comme la kaliémie  la volémie et le système angiotensinerénine. Enfin  nous avons écarté les hormones sexocorticoides  car elles interviennent finalement peu sur la régulation de l'axe A.H.S.  se manifestant surtout dans certaines tumeurs surrénaliennes. Le chapitre physiologie  est doc essentiellement consacré à l'étude du cortisol. En conclusion  nous espérons apporter un nouvel éclairage sur sur cette glande sormme toute vitale  puisque nous ne pouvons vivre sans elle. Résumé : Tout a commencé il y a trois ans, par un après-midi d'avril particulièrement difficile -comme nous en connaissons tous parfois- se résumant à six patients présentant tous des sciatalgies. [...]Quand je fis entrer le 4ème patient dans mon cabinet, le 5ème et le 6ème attendaient déjà, et une pression épouvantable commença à monter chez le thérapeute que je représentais. Epuisée par les trois premiers et pas de temps pour faire une pause, ni même cette fois de me demander "ce que j'avais fait ". Je décidai de commencer par le CV4 pour les trois derniers. Ils s'endormirent tous rapidement (on les entendit ronfler de la cuisine) , ne se réveillant qu'aux moments douloureux de pyramidaux et de psoas, mais se rendormirent ensuite comme de grands bébés. [...]Le principe d'un dosage hormonal avant et après un traitement ostéopathique persistait. Une nouvelle série le circonstances de traitement sur des sujets épuisés, tressés, déprimés, ayant eu des tests sanguins de cortisol, ou ayant été traité en corticothérapie, certains vivement améliorés par le traitement ostéopathique, d'autres sans résultat, me poussèrent à m'orienter vers le cortisol et l 'ACTH. D'autant qu'il semblait, d'après de récents articles, que la sécrétion d'ACTH reflétait bien le taux de sécrétion

Exemplaires(1)

Code-barres	emprunt	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
510	1.4 JOU	Mémoire (ostéopathie)	Bibliothèque principale	Documentaires	Exclu du prêt