Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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L'activation du cerveau droit, son utilité dans l'approche ostéopathique / GRIN Arnaud
Titre : L'activation du cerveau droit, son utilité dans l'approche ostéopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : GRIN Arnaud, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE SCIENCE ART INTUITION ANATOMIE PHYSIOLOGIE CERVEAU Résumé : Le sujet s'est imposé à moi comme une énigme que je devais résoudre pour grandir. Tout est parti d'un constat: depuis huit années que je pratiquais consciencieusement l'ostéopathie, le principe de globalité n'était pour moi qu'un concept dont nous parlions tous, élèves et jeunes diplômés, mais que bien peu appliquaient réellement. Par un souci d'efficacité, j'ai complété ma formation par deux années de stages sur les techniques structurelles et j'ai acquis bien évidemment une certaine maîtrise. Paradoxalement, l'augmentation de mes connaissances et l'ouverture à de nouvelles techniques ne m'ont pas permis d'accéder à la quintessence ostéopathique, bien au contraire, je me suis perdu dans une multitude d'informations dont je ne savais que faire. La règle selon laquelle il ne faudrait agir que lorsque l'on maîtrise tous les paramètres d'une lésion, d'un schéma lésionnel, où d'un équilibre fragile d'adaptation bloque toute tentative d'exploration intuitive, l'esprit d'initiative, omnibulés que nous sommes par le raisonnement scientifique, la logique et le besoin exacerbé de reconnaissan_ de la profession. L'apprentissage de l'ostéopathie au sein des écoles, se fait en privilégiant l'hémisphère gauche, et ce pour des besoins pédagogiques; les formidables possibilités de l'hémisphère droit ouvrent des voies passionnantes qu'il serait bon d'évoquer durant les études. L'intuition, la globalité et l'esprit de synthèse associés à la logique du raisonnement et de l'analyse permettent d'accroître notre efficacité. A cette période, bon nombre d'ostéopathes confirmés que je connaissais avaient abandonné les techniques structurelles au profit des techniques fonctionnelles où tissulaires. Le doute s'est alors mis dans ma tête en confrontant l'ostéopathie analytique, logique et standardisée que je pratiquais avec celle que j'imaginais, aérienne, artistique, inspirée et dont les représentants étaient pour moi des référen_s. Je me suis alors tourné vers ceux qui pouvaient combler une partie de mon manque et ce fût la rencontre de A. Abeshera (l'ostéopathie projective) et de P. Tricot (l'écoute tissulaire) qui me guidèrent sur un nouveau chemin en me fournissant la matière à réflexion de cette thèse. Les livres, les rencontres et le hasard firent le reste. L'étude de notre hémisphère droit n'a cessé dès lors de m'émerveiller tant elle apporte de réponses à de nombreuses questions concemant les domaines de " l'irrationnel", éclairant d'explications inédites des sujets comme: le langage, l'art. la conscience. l'inconscient, les valeurs, les émotions, la décision, le sport, l'art de vivre, l'authenticié, le charme etc. Cela m'a permis de mieux comprendre d'autres cultures comme celles du Japon, de l'Inde, de la Chine ou des pays Arabo-islamiques. . Le sujet étant vaste, nous explorerons dans un premier temps l'étendue de nos connaissances sur le cerveau afin de nous donner une culture générale et nous évoquerons les dernières découvertes ainsi que leur incidence sur l'étude des comportements. Enfin, nous réduirons le sujet à ce qui nous intéresse, c'est-à-dire l'application ostéopathique de ces nouvelles données. l'idée défendue est de reconnaître l'importance de la simultanéité du fonctionnement des deux hémisphères pour une pratique de l'ostéopathie plus riche, plus créative, où comme le disait Becker, ce que l'on sent est plus important que ce que l'on pense. Le rôle du cerveau droit et son utilisation dans notre pratique devrait sans doute être intégré au cursus des études afin que le concept ostéopathique ne se perde pas dans les méandres du raisonnement scientifique et qu'il conserve la trace, le souffle originel. Il existe plusieurs vérités, plusieurs réalités en ce monde, apprenons à changer de point de vue pour découvrir les différentes facettes de l'ostéopathie et rappelons que sa pratique est un art qui exige du talent. L'activation du cerveau droit, son utilité dans l'approche ostéopathique [texte imprimé] / GRIN Arnaud, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PHILOSOPHIE SCIENCE ART INTUITION ANATOMIE PHYSIOLOGIE CERVEAU Résumé : Le sujet s'est imposé à moi comme une énigme que je devais résoudre pour grandir. Tout est parti d'un constat: depuis huit années que je pratiquais consciencieusement l'ostéopathie, le principe de globalité n'était pour moi qu'un concept dont nous parlions tous, élèves et jeunes diplômés, mais que bien peu appliquaient réellement. Par un souci d'efficacité, j'ai complété ma formation par deux années de stages sur les techniques structurelles et j'ai acquis bien évidemment une certaine maîtrise. Paradoxalement, l'augmentation de mes connaissances et l'ouverture à de nouvelles techniques ne m'ont pas permis d'accéder à la quintessence ostéopathique, bien au contraire, je me suis perdu dans une multitude d'informations dont je ne savais que faire. La règle selon laquelle il ne faudrait agir que lorsque l'on maîtrise tous les paramètres d'une lésion, d'un schéma lésionnel, où d'un équilibre fragile d'adaptation bloque toute tentative d'exploration intuitive, l'esprit d'initiative, omnibulés que nous sommes par le raisonnement scientifique, la logique et le besoin exacerbé de reconnaissan_ de la profession. L'apprentissage de l'ostéopathie au sein des écoles, se fait en privilégiant l'hémisphère gauche, et ce pour des besoins pédagogiques; les formidables possibilités de l'hémisphère droit ouvrent des voies passionnantes qu'il serait bon d'évoquer durant les études. L'intuition, la globalité et l'esprit de synthèse associés à la logique du raisonnement et de l'analyse permettent d'accroître notre efficacité. A cette période, bon nombre d'ostéopathes confirmés que je connaissais avaient abandonné les techniques structurelles au profit des techniques fonctionnelles où tissulaires. Le doute s'est alors mis dans ma tête en confrontant l'ostéopathie analytique, logique et standardisée que je pratiquais avec celle que j'imaginais, aérienne, artistique, inspirée et dont les représentants étaient pour moi des référen_s. Je me suis alors tourné vers ceux qui pouvaient combler une partie de mon manque et ce fût la rencontre de A. Abeshera (l'ostéopathie projective) et de P. Tricot (l'écoute tissulaire) qui me guidèrent sur un nouveau chemin en me fournissant la matière à réflexion de cette thèse. Les livres, les rencontres et le hasard firent le reste. L'étude de notre hémisphère droit n'a cessé dès lors de m'émerveiller tant elle apporte de réponses à de nombreuses questions concemant les domaines de " l'irrationnel", éclairant d'explications inédites des sujets comme: le langage, l'art. la conscience. l'inconscient, les valeurs, les émotions, la décision, le sport, l'art de vivre, l'authenticié, le charme etc. Cela m'a permis de mieux comprendre d'autres cultures comme celles du Japon, de l'Inde, de la Chine ou des pays Arabo-islamiques. . Le sujet étant vaste, nous explorerons dans un premier temps l'étendue de nos connaissances sur le cerveau afin de nous donner une culture générale et nous évoquerons les dernières découvertes ainsi que leur incidence sur l'étude des comportements. Enfin, nous réduirons le sujet à ce qui nous intéresse, c'est-à-dire l'application ostéopathique de ces nouvelles données. l'idée défendue est de reconnaître l'importance de la simultanéité du fonctionnement des deux hémisphères pour une pratique de l'ostéopathie plus riche, plus créative, où comme le disait Becker, ce que l'on sent est plus important que ce que l'on pense. Le rôle du cerveau droit et son utilisation dans notre pratique devrait sans doute être intégré au cursus des études afin que le concept ostéopathique ne se perde pas dans les méandres du raisonnement scientifique et qu'il conserve la trace, le souffle originel. Il existe plusieurs vérités, plusieurs réalités en ce monde, apprenons à changer de point de vue pour découvrir les différentes facettes de l'ostéopathie et rappelons que sa pratique est un art qui exige du talent. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 457 1.4 GRI Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt De la tradition à l'ostéopathie : lecture symbolique du corps et discernement intuitif pour une autre relation ostéopathique / Stéphan Bonneau
Titre : De la tradition à l'ostéopathie : lecture symbolique du corps et discernement intuitif pour une autre relation ostéopathique Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphan Bonneau, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : TRAITEMENT PSYCHOLOGIE COMMUNICATION NON VERBALE PATIENT THERAPEUTE SYMBOLISME ASSOCIATION CORPS INTUITION Résumé : Puisque la relation thérapeutique "soignant/soigné", aussi superficielle soit-elle, ne peut exister que grâce à des systèmes de communication plus ou moins fins entre les protagonistes (l'un exprime son malaise et le désir d'entre être guéri, l'autre propose ou impose une solution ; il me paraît intéressant de vous proposer, comme introduction à ce chapitre, cette réflexion: "la communication n'est pas une activité humaine en plus.. c'est l'activité humaine par excellence (7). Ainsi donc, dans notre pratique quotidienne, la phase d'écoute du patient sera primordiale et gagnera beaucoup en respectant certains paramètres comme : . venir au niveau de communication du patient pour aborder sa "bulle relationnelle" avec son agrément; sans violence, . savoir écouter, sans projeter un modèle causal de la pathogénie, tiré de notre "savoir", . enrichir l'anamnèse par l'écoute de "non-dits " que livre le langage du corps à travers ses symbolismes ( cf chapitre II), et qu'expriment certaines verbalisations discrètes ( choix des mots, associations de mots, réminiscences pendant l'acte de toucher thérapeutique ou informatif), . s'impliquer dans une "présence vraie" comme le suggère, par exemple, P.TRICOT en mettant en place des paramètres palpatoires précis lors de la communication entre l'ostéopathe et le système des fascias. Cette sincérité dans le désir de connaître pour guérir fait toute la différence entre une technicité, même excellente, et la thérapie attendue par le patient. Un des axes de travail habituels de l'ostéopathe, qui est de savoir que la cause primordiale d'un symptôme douloureux, peut ne pas être là où la situe trop souvent une vision simpliste de la pathogénie ( c'est-à-dire en coïncidence exacte avec le niveau de la manifestation) se retrouve exprimé, bien qu'un peu différemment, dans la définition que le mathématicien N. WIENER donne en 1942 de la cybernétique, à savoir : "Les relations que les phénomènes et les objets entretiennent entre eux sont plus importantes que le contenu de ces phénomènes et de ces objets". Pour nous, la communication, en tant que réception d'une intimité, souvent douloureuse, va se faire grâce à nos MAINS. Mais celles-ci n'agissent pas de façon autonome, elles restent en permanence reliées à : - nos oreilles qui recueillent "l'histoire" du patient et constituent le niveau d'écoute auditive, - notre esprit/intellect qui permet de créer un lien entre les perceptions manuelles et ce qu'elles signifient au plan anatomo-physiologique. Ce niveau de rationalisation de l'écoute palpatoire nécessite une bonne connaissance biomédicale du corps pour une visualisation précise des dysfonctions somatiques,- notre coeur spirituel, prolongement direct des mains qui voient, si le thérapeute est capable de compassion. A ce niveau de perception l'intuition devient lumineuse et permet d'accéder à la relation que la maladie entretient avec les archétypes ( ce que JUNG appelle l'insconscient collectif) ou avec le vécu émotionnel du patient. C'est l'intégration de ces différents niveaux de connaissance qui va aider le thérapeute à rester juste et sincère dans l'appréciation des informations palpatoires et sensorielles sans glisser vers une forme d'ésotérisme souvent difficile à gérer. Il aura alors conscience d'avoir fait son maximum pour aider son patient et, du degré de participation et d'implication de celui-ci au processus de rééquilibrage, dépendra alors la perennité de la guérison. L'outil privilégié de "communication" qu'est pour nous la MAIN peut donc être considéré, ainsi que le propose B. Ducoux, comme un organe sensoriel décentralisé puisqu'il permet de créer instantanément une relation entre notre "ESPRIT/COEUR" et n'importe quelle partie du corps du patient. En Hébreu, la main se dit YAD et le verbe connaître est construit sur cette racine pour donner YADA, qui se décompose en y AD (la main) et A (la lettre ayin qui signifie oeil). Pour les Anciens la main est donc douée de vision, de même que l'oeil possède une dimension de toucher. Elle est aussi douée du pouvoir de soulager, voire de guérir, que l'on retrouve dans la main protectrice de FA IIMA chez les musulmans, ainsi que dans les médecines chamaniques disséminées un peu partout dans notre monde. Et ce sont ces pouvoirs que, plus ou moins inconsciemment, nos patients nous reconnaissent. Bien que vivant, comme nous, dans une civilisation où la pensée se doit d'être exclusivement objective et rationnelle et où le toucher est sévèrement négativé par des moeurs dont les tabous ont creusé de véritables fossés entre les épidermes, ils donnent leur confiance à une thérapie manuelle. Ils acceptent le contact tactile dans le cadre confidentiel d'une relation thérapeutique sans avoir, bien souvent, conscience qu'ils autorisent l'accès tout autant à leur psyché qu'à leur "corps-enveloppe". Ce sera donc à nous, thérapeutes privilégiés, d'avoir suffisamment de tact et de lucidité pour que chacun, praticien et patient, se sache à sa place exacte et s'y sente bien. De la tradition à l'ostéopathie : lecture symbolique du corps et discernement intuitif pour une autre relation ostéopathique [texte imprimé] / Stéphan Bonneau, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :C.O.P. Mots-clés : TRAITEMENT PSYCHOLOGIE COMMUNICATION NON VERBALE PATIENT THERAPEUTE SYMBOLISME ASSOCIATION CORPS INTUITION Résumé : Puisque la relation thérapeutique "soignant/soigné", aussi superficielle soit-elle, ne peut exister que grâce à des systèmes de communication plus ou moins fins entre les protagonistes (l'un exprime son malaise et le désir d'entre être guéri, l'autre propose ou impose une solution ; il me paraît intéressant de vous proposer, comme introduction à ce chapitre, cette réflexion: "la communication n'est pas une activité humaine en plus.. c'est l'activité humaine par excellence (7). Ainsi donc, dans notre pratique quotidienne, la phase d'écoute du patient sera primordiale et gagnera beaucoup en respectant certains paramètres comme : . venir au niveau de communication du patient pour aborder sa "bulle relationnelle" avec son agrément; sans violence, . savoir écouter, sans projeter un modèle causal de la pathogénie, tiré de notre "savoir", . enrichir l'anamnèse par l'écoute de "non-dits " que livre le langage du corps à travers ses symbolismes ( cf chapitre II), et qu'expriment certaines verbalisations discrètes ( choix des mots, associations de mots, réminiscences pendant l'acte de toucher thérapeutique ou informatif), . s'impliquer dans une "présence vraie" comme le suggère, par exemple, P.TRICOT en mettant en place des paramètres palpatoires précis lors de la communication entre l'ostéopathe et le système des fascias. Cette sincérité dans le désir de connaître pour guérir fait toute la différence entre une technicité, même excellente, et la thérapie attendue par le patient. Un des axes de travail habituels de l'ostéopathe, qui est de savoir que la cause primordiale d'un symptôme douloureux, peut ne pas être là où la situe trop souvent une vision simpliste de la pathogénie ( c'est-à-dire en coïncidence exacte avec le niveau de la manifestation) se retrouve exprimé, bien qu'un peu différemment, dans la définition que le mathématicien N. WIENER donne en 1942 de la cybernétique, à savoir : "Les relations que les phénomènes et les objets entretiennent entre eux sont plus importantes que le contenu de ces phénomènes et de ces objets". Pour nous, la communication, en tant que réception d'une intimité, souvent douloureuse, va se faire grâce à nos MAINS. Mais celles-ci n'agissent pas de façon autonome, elles restent en permanence reliées à : - nos oreilles qui recueillent "l'histoire" du patient et constituent le niveau d'écoute auditive, - notre esprit/intellect qui permet de créer un lien entre les perceptions manuelles et ce qu'elles signifient au plan anatomo-physiologique. Ce niveau de rationalisation de l'écoute palpatoire nécessite une bonne connaissance biomédicale du corps pour une visualisation précise des dysfonctions somatiques,- notre coeur spirituel, prolongement direct des mains qui voient, si le thérapeute est capable de compassion. A ce niveau de perception l'intuition devient lumineuse et permet d'accéder à la relation que la maladie entretient avec les archétypes ( ce que JUNG appelle l'insconscient collectif) ou avec le vécu émotionnel du patient. C'est l'intégration de ces différents niveaux de connaissance qui va aider le thérapeute à rester juste et sincère dans l'appréciation des informations palpatoires et sensorielles sans glisser vers une forme d'ésotérisme souvent difficile à gérer. Il aura alors conscience d'avoir fait son maximum pour aider son patient et, du degré de participation et d'implication de celui-ci au processus de rééquilibrage, dépendra alors la perennité de la guérison. L'outil privilégié de "communication" qu'est pour nous la MAIN peut donc être considéré, ainsi que le propose B. Ducoux, comme un organe sensoriel décentralisé puisqu'il permet de créer instantanément une relation entre notre "ESPRIT/COEUR" et n'importe quelle partie du corps du patient. En Hébreu, la main se dit YAD et le verbe connaître est construit sur cette racine pour donner YADA, qui se décompose en y AD (la main) et A (la lettre ayin qui signifie oeil). Pour les Anciens la main est donc douée de vision, de même que l'oeil possède une dimension de toucher. Elle est aussi douée du pouvoir de soulager, voire de guérir, que l'on retrouve dans la main protectrice de FA IIMA chez les musulmans, ainsi que dans les médecines chamaniques disséminées un peu partout dans notre monde. Et ce sont ces pouvoirs que, plus ou moins inconsciemment, nos patients nous reconnaissent. Bien que vivant, comme nous, dans une civilisation où la pensée se doit d'être exclusivement objective et rationnelle et où le toucher est sévèrement négativé par des moeurs dont les tabous ont creusé de véritables fossés entre les épidermes, ils donnent leur confiance à une thérapie manuelle. Ils acceptent le contact tactile dans le cadre confidentiel d'une relation thérapeutique sans avoir, bien souvent, conscience qu'ils autorisent l'accès tout autant à leur psyché qu'à leur "corps-enveloppe". Ce sera donc à nous, thérapeutes privilégiés, d'avoir suffisamment de tact et de lucidité pour que chacun, praticien et patient, se sache à sa place exacte et s'y sente bien. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 146 BON Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Attention et Intention, Maîtres Mots de l'Ostéopathe / Pierre Chaumel
Titre : Attention et Intention, Maîtres Mots de l'Ostéopathe Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Chaumel, Auteur ; Robert PERRONNEAUD-FERRE (DO MROF), Directeur de la recherche Editeur : ISO Aix-en-Provence Année de publication : 2004 Importance : 81 PAGES // document numérisable sur commande Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :AO Mots-clés : OSTÉOPATHE ATTENTION INTENTION RACINE ÉTYMOLOGIQUE INTUITION PATIENT DYSFONCTION MALADIE Résumé : RS Attention et Intention, Maîtres Mots de l'Ostéopathe [texte imprimé] / Pierre Chaumel, Auteur ; Robert PERRONNEAUD-FERRE (DO MROF), Directeur de la recherche . - ISO Aix-en-Provence, 2004 . - 81 PAGES // document numérisable sur commande.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :AO Mots-clés : OSTÉOPATHE ATTENTION INTENTION RACINE ÉTYMOLOGIQUE INTUITION PATIENT DYSFONCTION MALADIE Résumé : RS Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 9223 1.3 CHA Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt