Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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2 recherche sur le mot-clé 'MECANISME'
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Etude sur le torticolis congénital chez le nourrisson : analyse ostéopathique du mécanisme obstétrical / Gérard Albentosa
Titre : Etude sur le torticolis congénital chez le nourrisson : analyse ostéopathique du mécanisme obstétrical Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Albentosa, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE TORTICOLIS CONGENITAL PEDIATRIE NOURISSON NOUVEAU-NE OBSTETRIQUE ACCOUCHEMENT PHYSIOLOGIE MECANISME ANATOMIE COU CRANE TROU DECHIRE POSTERIEUR T.D.P. TEMPORAL OCCIPUT BASSIN Résumé : La première épreuve et certainement, la première origine d'affections chez l' enfant, reste sa naissance. La fragilité du foetus, sa nécessaire adaptation à chaque étape de l'accouchement , la constante adéquation des différents paramètres propices à la mécanique obstétricale , sont autant d'écueils et de troubles, sur son difficile parcours de la vie intra-placentaire à la vie extra-utérine. Sans aller systématiquement rechercher les causes des affections post-obstétricales dans l'embryogénèse ou dans les problèmes lors de la gestation, il suffit parfois de constater les perturbations lors de l'accouchement, et d'en déduire troubles et conséquences: le torticolis congénital du nourrisson en fait partie. Les diverses pressions crâniennes, les différents modelages, positionnements et mouvements à chaque phase de l'accouchement vont créer des tensions qui peuvent, si elles s'exagèrent, entraîner des lésions de la boite crânienne en général et de la symphyse sphéno-basilaire en particulier cause de fixation en flexion de celle-ci, et fermeture du très important trou déchiré postérieur, véritable "Canal de Corynthe" entre l'endocrâne et l'exocrâne. Les conséquences immédiates sur tout ce qui transite par ce T.D.P., sont à l'évidence fonction de l'importance de la lésion et de sa réversibilité. il sera donc nécessaire et intéressant à la fois d'étudier avec précision, le mécanisme de l'accouchement, qui a pu engendrer cette dysfonction, et bien entendu, de réduire celle-ci avec précocité, pour ne pas risquer de fixation vers la chronicité mais aussi et surtout permettre au nouveau-né de débuter son évolution sans retard et sans séquelle. Etude sur le torticolis congénital chez le nourrisson : analyse ostéopathique du mécanisme obstétrical [texte imprimé] / Gérard Albentosa, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE TORTICOLIS CONGENITAL PEDIATRIE NOURISSON NOUVEAU-NE OBSTETRIQUE ACCOUCHEMENT PHYSIOLOGIE MECANISME ANATOMIE COU CRANE TROU DECHIRE POSTERIEUR T.D.P. TEMPORAL OCCIPUT BASSIN Résumé : La première épreuve et certainement, la première origine d'affections chez l' enfant, reste sa naissance. La fragilité du foetus, sa nécessaire adaptation à chaque étape de l'accouchement , la constante adéquation des différents paramètres propices à la mécanique obstétricale , sont autant d'écueils et de troubles, sur son difficile parcours de la vie intra-placentaire à la vie extra-utérine. Sans aller systématiquement rechercher les causes des affections post-obstétricales dans l'embryogénèse ou dans les problèmes lors de la gestation, il suffit parfois de constater les perturbations lors de l'accouchement, et d'en déduire troubles et conséquences: le torticolis congénital du nourrisson en fait partie. Les diverses pressions crâniennes, les différents modelages, positionnements et mouvements à chaque phase de l'accouchement vont créer des tensions qui peuvent, si elles s'exagèrent, entraîner des lésions de la boite crânienne en général et de la symphyse sphéno-basilaire en particulier cause de fixation en flexion de celle-ci, et fermeture du très important trou déchiré postérieur, véritable "Canal de Corynthe" entre l'endocrâne et l'exocrâne. Les conséquences immédiates sur tout ce qui transite par ce T.D.P., sont à l'évidence fonction de l'importance de la lésion et de sa réversibilité. il sera donc nécessaire et intéressant à la fois d'étudier avec précision, le mécanisme de l'accouchement, qui a pu engendrer cette dysfonction, et bien entendu, de réduire celle-ci avec précocité, pour ne pas risquer de fixation vers la chronicité mais aussi et surtout permettre au nouveau-né de débuter son évolution sans retard et sans séquelle. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 19 ALB Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt Whiplash (Le) / Thierry Marchand
Titre : Whiplash (Le) Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Marchand, Auteur Importance : 77 p. Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAUMATOLOGIE PHYSIOLOGIE MECANISME WHIPLASH OSTEOPATHIE TISSULAIRE TRAITEMENT Résumé : Le terme de whiplash, que l'on peut traduire en français par "coup de fouet", a été appliqué à l'origine, à la blessure tissulaire d'un corps consécutive à une collision automobile. CROWE, en 1928, utilisa le premier ce terme qui, dans son originale acceptation, se limitait à définir la manière dont le traumatisme s'était produit, et non les conséquences qui en découlent tant sur le plan physio-pathologique que dans le domaine thérapeutique. De 1928 à 1970, il semblerait que plusieurs autres définitions du whiplash aient été proposées, (DAVIS, GAY et AB BOT, MACNAB). Un dénominateur commun paraît les rapprocher; en effet la région vertébrale cervicale retient alors de manière très prépondérante l'intérêt des auteurs. En 1972, ROCCA tente un parallèle en disant que le whiplash serait: "Un syndrome complexe dans lequel les symptomes ressemblent énormément à ceux d'une légère commotion cérébrale" . Ce ne sont ici ni le mécanisme traumatique responsable, ni l'élément anatomique particulièrement lèsé qui prédomine mais l'aspect sémiologique. HARAKAL nous dit enfin que selon MACNAB, le comité de l'Association orthopédique occidentale du whiplash a donné la définition suivante: "Une expérience traumatique de courte durée produisant un mouvement articulaire excessif dans deux directions, au delà des limites anatomiques et physiologiques, causé par un changement soudain dans l'inertie dont les forces vectrices affectent les systèmes intégraux du corps". Cette dernière définition insiste sur plusieurs points qui font tendre l'oreille à l'ostéopathe, surpris parfois par certains de ses échecs, ou par les rechutes itératives faisant suite à des traitements manuels pourtant intelligemment appliqués. - l'expérience causale est traumatique et soudaine, - elle produit un mouvement articulaire excessif donc potentiellement générateur de lésions ostéopathiques, - ces mouvements au-delà des limites anatomiques et physiologiques se font dans deux directions, non précisées dans cette définitionmais soutendant l'éventualité d'une souffrance tissulaire au centre de ces deux forces, - enfin ces forces affectent les systèmes intégraux du corps et l'ostéopathe retrouve ici l'une des idées maîtresses du concept ostéopathique, la perversion de la structure retentissant sur l'ensemble de la fonction. Au Vue de ces différents points, il apparaît donc que le praticien manuel est l'un des mieux placé pour détecter, comprendre et s'efforcer de soigner les troubles nombreux et parfois sévères illustrant le whiplash, suite à des traumatismes par inertie dans lequel la notion de surprise semble tenir une place prépondérante. L'introduction de cette notion de doit pas être prise d'une manière excessive et ne veux en aucun cas vouloir dire que sans surprise il n'y a pas de whiplash. Mais simplement que le fait de ne pas s'attendre à un traumatisme ne favorise pas la mise en jeu rapide des forces homéostasiques anti-stress, majorant de ce fait peut être la souffrance consécutive à ce choc, ou permettant l'inscription de cette agression dans un corps qui, prévenu, aurait peut-être pu la repousser immédiatement. Or la surprise étant souvent génératrice de peur, et connaissant les effets physiologiques inhibiteurs de cette dernière, il semblerait difficile d'exclure ces notions du contexte d'installation du whiplash. Nous ne reviendrons pas ici sur les nombreuses descriptions anatomo-pathologiques, conséquences du whiplash, tant au niveau cervical que dans le reste du corps, mais essayons de brosser les grandes lignes des perversions inhérentes à ces traumatismes et interessant tout particulièrement l'ostéopathe, en nous efforçant de faire apparaitre certaines notions personnelles nées de l'expérience pratique du traitement de ce type de pathologie. Whiplash (Le) [texte imprimé] / Thierry Marchand, Auteur . - [s.d.] . - 77 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : TRAUMATOLOGIE PHYSIOLOGIE MECANISME WHIPLASH OSTEOPATHIE TISSULAIRE TRAITEMENT Résumé : Le terme de whiplash, que l'on peut traduire en français par "coup de fouet", a été appliqué à l'origine, à la blessure tissulaire d'un corps consécutive à une collision automobile. CROWE, en 1928, utilisa le premier ce terme qui, dans son originale acceptation, se limitait à définir la manière dont le traumatisme s'était produit, et non les conséquences qui en découlent tant sur le plan physio-pathologique que dans le domaine thérapeutique. De 1928 à 1970, il semblerait que plusieurs autres définitions du whiplash aient été proposées, (DAVIS, GAY et AB BOT, MACNAB). Un dénominateur commun paraît les rapprocher; en effet la région vertébrale cervicale retient alors de manière très prépondérante l'intérêt des auteurs. En 1972, ROCCA tente un parallèle en disant que le whiplash serait: "Un syndrome complexe dans lequel les symptomes ressemblent énormément à ceux d'une légère commotion cérébrale" . Ce ne sont ici ni le mécanisme traumatique responsable, ni l'élément anatomique particulièrement lèsé qui prédomine mais l'aspect sémiologique. HARAKAL nous dit enfin que selon MACNAB, le comité de l'Association orthopédique occidentale du whiplash a donné la définition suivante: "Une expérience traumatique de courte durée produisant un mouvement articulaire excessif dans deux directions, au delà des limites anatomiques et physiologiques, causé par un changement soudain dans l'inertie dont les forces vectrices affectent les systèmes intégraux du corps". Cette dernière définition insiste sur plusieurs points qui font tendre l'oreille à l'ostéopathe, surpris parfois par certains de ses échecs, ou par les rechutes itératives faisant suite à des traitements manuels pourtant intelligemment appliqués. - l'expérience causale est traumatique et soudaine, - elle produit un mouvement articulaire excessif donc potentiellement générateur de lésions ostéopathiques, - ces mouvements au-delà des limites anatomiques et physiologiques se font dans deux directions, non précisées dans cette définitionmais soutendant l'éventualité d'une souffrance tissulaire au centre de ces deux forces, - enfin ces forces affectent les systèmes intégraux du corps et l'ostéopathe retrouve ici l'une des idées maîtresses du concept ostéopathique, la perversion de la structure retentissant sur l'ensemble de la fonction. Au Vue de ces différents points, il apparaît donc que le praticien manuel est l'un des mieux placé pour détecter, comprendre et s'efforcer de soigner les troubles nombreux et parfois sévères illustrant le whiplash, suite à des traumatismes par inertie dans lequel la notion de surprise semble tenir une place prépondérante. L'introduction de cette notion de doit pas être prise d'une manière excessive et ne veux en aucun cas vouloir dire que sans surprise il n'y a pas de whiplash. Mais simplement que le fait de ne pas s'attendre à un traumatisme ne favorise pas la mise en jeu rapide des forces homéostasiques anti-stress, majorant de ce fait peut être la souffrance consécutive à ce choc, ou permettant l'inscription de cette agression dans un corps qui, prévenu, aurait peut-être pu la repousser immédiatement. Or la surprise étant souvent génératrice de peur, et connaissant les effets physiologiques inhibiteurs de cette dernière, il semblerait difficile d'exclure ces notions du contexte d'installation du whiplash. Nous ne reviendrons pas ici sur les nombreuses descriptions anatomo-pathologiques, conséquences du whiplash, tant au niveau cervical que dans le reste du corps, mais essayons de brosser les grandes lignes des perversions inhérentes à ces traumatismes et interessant tout particulièrement l'ostéopathe, en nous efforçant de faire apparaitre certaines notions personnelles nées de l'expérience pratique du traitement de ce type de pathologie. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 605 MAR Mémoire (ostéopathie) école d'ostéopathie Documentaires Exclu du prêt