Centre de Documentation et d'Information de l'Académie d'Ostéopathie
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Approche ostéopathique de l'hyperpression rotulienne essentielle / MARCHAL Hugues
Titre : Approche ostéopathique de l'hyperpression rotulienne essentielle Type de document : texte imprimé Auteurs : MARCHAL Hugues, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE SYNDROME D'HYPER PRESSION ROTULIENNE POSTUROLOGIE PIVOT BIOMECANIQUE FASCIALE MOUVEMENT RESPIRATOIRE PRIMAIRE ANATOMIE MEMBRE INFERIEUR ROTULE SOCIOLOGIE FEMME TRAITEMENT Résumé : La définition du syndrome d'hyper pression rotulienne (H.P.R) envisagé exclu les dysplasies rotuliennes congénitales ou acquises qui seules seraient suceptibles d'être améliorées par traitements chirurgical ou rééducatif. Le syndrome d'H.P.R est le type même de pathologie qui décourage d'entrée le corps médical. Aucune thérapie n'est actuellement efficiente. Il suffit de se référer aux multiples tentatives chirurgicales et à la sempiternelle rééducation de l'appareil extenseur.Pourtant, sa gravité relative tient à l'importance du retentissement psychologique, au handicap fonctionnel, à la menace pour certains de leur avenir professionnel, à la difficulté du traitement et aux risques majeurs entrainés par les excès chirurgicaux. Pourquoi ce syndrome touche-t-il en grande majorité des filles, adolescentes et avec une telle constance quant aux signes cliniques? Pourtant, du fait que la rotule n'est qu'une densification d'un axe musculo aponévrotique, donc partie intégrante d'un système longitudinal, nous allons ellaborer grâce à l' outil ostéopathique une systématique de traitement. En effet, en complément de la spécificité propre à chaque traitement ostéopathique, ce travail tentera de dégager un protocole non exhaustif à l'usage des thérapeutes concernés (kinésithérapeutes, chirurgiens ). Pourquoi un protocole? En observant les différents cas traités, nous avons relevé des constantes en ce qui concerne les traitements effectués. A cette trame, véritable toile de fond, se superpose bien entendu l'histoire de chaque individu De la même manière que ces adolescentes présentent souvent les mêmes signes cliniques, celles ci semblent réagir favorablement aux mêmes temps forts du traitement ostéopathique. Ces constantes présentent un intérêt car elles remettent en cause certains principes initiateurs de gestes chirurgicaux ou traitements rééducatifs excessifs. Ce travail n'a pu se faire que grâce à la collaboration bienveillante de chirurgiens, rhumatologues, et rééducateurs qui nous ont confié leurs patients. Pour ces spécialistes, l'ostéopathie est un aspect inconnu de la médecine et nous nous devons d'être clairs et convaincants dans nos affirmations. Dans ce qui va suivre, nous nous adresserons à la fois aux ostéopathes et à leur spécificité, mais aussi aux thérapeutes ignorants de l' ostéopathie mais non de l'anatomie et de la biomécanique! Approche ostéopathique de l'hyperpression rotulienne essentielle [texte imprimé] / MARCHAL Hugues, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :ATMAN, Paris Mots-clés : PATHOLOGIE SYNDROME D'HYPER PRESSION ROTULIENNE POSTUROLOGIE PIVOT BIOMECANIQUE FASCIALE MOUVEMENT RESPIRATOIRE PRIMAIRE ANATOMIE MEMBRE INFERIEUR ROTULE SOCIOLOGIE FEMME TRAITEMENT Résumé : La définition du syndrome d'hyper pression rotulienne (H.P.R) envisagé exclu les dysplasies rotuliennes congénitales ou acquises qui seules seraient suceptibles d'être améliorées par traitements chirurgical ou rééducatif. Le syndrome d'H.P.R est le type même de pathologie qui décourage d'entrée le corps médical. Aucune thérapie n'est actuellement efficiente. Il suffit de se référer aux multiples tentatives chirurgicales et à la sempiternelle rééducation de l'appareil extenseur.Pourtant, sa gravité relative tient à l'importance du retentissement psychologique, au handicap fonctionnel, à la menace pour certains de leur avenir professionnel, à la difficulté du traitement et aux risques majeurs entrainés par les excès chirurgicaux. Pourquoi ce syndrome touche-t-il en grande majorité des filles, adolescentes et avec une telle constance quant aux signes cliniques? Pourtant, du fait que la rotule n'est qu'une densification d'un axe musculo aponévrotique, donc partie intégrante d'un système longitudinal, nous allons ellaborer grâce à l' outil ostéopathique une systématique de traitement. En effet, en complément de la spécificité propre à chaque traitement ostéopathique, ce travail tentera de dégager un protocole non exhaustif à l'usage des thérapeutes concernés (kinésithérapeutes, chirurgiens ). Pourquoi un protocole? En observant les différents cas traités, nous avons relevé des constantes en ce qui concerne les traitements effectués. A cette trame, véritable toile de fond, se superpose bien entendu l'histoire de chaque individu De la même manière que ces adolescentes présentent souvent les mêmes signes cliniques, celles ci semblent réagir favorablement aux mêmes temps forts du traitement ostéopathique. Ces constantes présentent un intérêt car elles remettent en cause certains principes initiateurs de gestes chirurgicaux ou traitements rééducatifs excessifs. Ce travail n'a pu se faire que grâce à la collaboration bienveillante de chirurgiens, rhumatologues, et rééducateurs qui nous ont confié leurs patients. Pour ces spécialistes, l'ostéopathie est un aspect inconnu de la médecine et nous nous devons d'être clairs et convaincants dans nos affirmations. Dans ce qui va suivre, nous nous adresserons à la fois aux ostéopathes et à leur spécificité, mais aussi aux thérapeutes ignorants de l' ostéopathie mais non de l'anatomie et de la biomécanique! Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 603 2.1 MAR Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt Intérêt d'une correction iliaque dans les syndromes rotuliens secondaires aux plasties extra articulaires / RENARD Edouard-Olivier
Titre : Intérêt d'une correction iliaque dans les syndromes rotuliens secondaires aux plasties extra articulaires Type de document : texte imprimé Auteurs : RENARD Edouard-Olivier, Auteur Langues : Français (fre) Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE SYNDROME FEMORO-PATELLAIRE OSTEOPATHIE STRUCTURELLE ANATOMIE MEMBRE INFERIEUR ROTULE CHIRURGIE GENOU TYPE LEMAIRE TRAITEMENT Résumé : La médecine et la chirurgie du sport ont largement contribué à l'élaboration d'un système de soins dispensé, autant dans les structures hospitalières que privées et se généralisant pour le plus grand nombre d'entre nous. Toutefois, les limites d'application existent et il n'est pas toujours aisé pour un praticien, quelque soit sa spécialité et ses compétences, de confronter à la réalité d'une plainte d'un patient, l'examen clinique d'une part et les examens complémentaires d'autre part qu'il pourrait demander pour ce patient. Nombreux, sont ces patients sportifs de haut niveau ou non, qui trainent avec un retentissement psychologique indiscutable à terme les stygmates d'une pathologie secondaire, dont on n'arrive pas à erradiquer les symptômes et ce, malgrè des moyens souvent considérables mis à leur disposition, pour un résultat décevant. Pour alimenter ce travail de recherche, nous nous sommes penchés sur les problèmes rotuliens secondaires aux plastie extra-articulaire de type LEMAIRE. Ces problèmes rotuliens sont communément appelés "rotules basse" par les chirurgiens du fait de la position de la rotule et de son engagement dans la trochlée par rapport au côté contro-latéral. Nous reviendrons dans le détail sur la description de ce syndrome et de son lien par rapport à ce type de chirurgie. Il nous a fallu constituer un recrutement selectif auprès de 127 patients opérés entre 1983 et 1988, pour une rupture isolée du ligament croisé antérieur (LCA) et pour lesquels la plastie extra-articulaire avait été retenue. sur cette population, 49 d'entre eux furent écartés de notre protocole expérimental, compte tenu de leurs antécédents avant toute chirurgie. En revanche, sur les 68 patients retenus pour ce protocole, tous ont présenté dans un délais de 12 à 24 mois post opératoire des douleurs de leur genou s'apparentant au syndrome fémoro patellaire. L'instauration d'un traitement médical par AINS associé à une kinésithérapie selective , analytique et proprioceptive n'apporta que 4 bons résultats. Intérêt d'une correction iliaque dans les syndromes rotuliens secondaires aux plasties extra articulaires [texte imprimé] / RENARD Edouard-Olivier, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Catégories : Mémoire :autres Mots-clés : PATHOLOGIE SYNDROME FEMORO-PATELLAIRE OSTEOPATHIE STRUCTURELLE ANATOMIE MEMBRE INFERIEUR ROTULE CHIRURGIE GENOU TYPE LEMAIRE TRAITEMENT Résumé : La médecine et la chirurgie du sport ont largement contribué à l'élaboration d'un système de soins dispensé, autant dans les structures hospitalières que privées et se généralisant pour le plus grand nombre d'entre nous. Toutefois, les limites d'application existent et il n'est pas toujours aisé pour un praticien, quelque soit sa spécialité et ses compétences, de confronter à la réalité d'une plainte d'un patient, l'examen clinique d'une part et les examens complémentaires d'autre part qu'il pourrait demander pour ce patient. Nombreux, sont ces patients sportifs de haut niveau ou non, qui trainent avec un retentissement psychologique indiscutable à terme les stygmates d'une pathologie secondaire, dont on n'arrive pas à erradiquer les symptômes et ce, malgrè des moyens souvent considérables mis à leur disposition, pour un résultat décevant. Pour alimenter ce travail de recherche, nous nous sommes penchés sur les problèmes rotuliens secondaires aux plastie extra-articulaire de type LEMAIRE. Ces problèmes rotuliens sont communément appelés "rotules basse" par les chirurgiens du fait de la position de la rotule et de son engagement dans la trochlée par rapport au côté contro-latéral. Nous reviendrons dans le détail sur la description de ce syndrome et de son lien par rapport à ce type de chirurgie. Il nous a fallu constituer un recrutement selectif auprès de 127 patients opérés entre 1983 et 1988, pour une rupture isolée du ligament croisé antérieur (LCA) et pour lesquels la plastie extra-articulaire avait été retenue. sur cette population, 49 d'entre eux furent écartés de notre protocole expérimental, compte tenu de leurs antécédents avant toute chirurgie. En revanche, sur les 68 patients retenus pour ce protocole, tous ont présenté dans un délais de 12 à 24 mois post opératoire des douleurs de leur genou s'apparentant au syndrome fémoro patellaire. L'instauration d'un traitement médical par AINS associé à une kinésithérapie selective , analytique et proprioceptive n'apporta que 4 bons résultats. Exemplaires(1)
Code-barres emprunt Cote Support Localisation Section Disponibilité 781 2.2 REN Mémoire (ostéopathie) Bibliothèque principale Documentaires Exclu du prêt